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Title

Consultant International: Evaluation du potentiel de développement des bioénergies au TOGO

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Reference   (Please mention Stopdodo/Environment Jobs in your application)
Sectors
Location Togo - Africa
Type Temporary / Contract / Seasonal
Status Full Time
Level Mid Level
Deadline 24/12/2010
Company Name United Nations Development Program
Contact Name Human Resources
Website Further Details / Applications
United Nations Development Program logo
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Description

Contexte général du pays

 1.1. Conditions géographiques

Située en bordure méridionale de l’Afrique de l’Ouest, dans la région équatoriale, la République Togolaise s’étend sur une superficie de 56 600 km2. Avec une forme « en bande longitudinale ». Le Togo est limité à l’Ouest par le Ghana, à l’Est par le Bénin, au Nord par le Burkina Faso et au Sud par l’Océan Atlantique. Il s’étire sur près de 600 km au Nord, contre 55 km de façade maritime sur le golfe de Guinée, et 120 km de largeur maximale d’Est à l’Ouest. Le Togo se trouve dans l’Hémisphère Nord, en Afrique de l’Ouest entre le 6e et le 11e parallèle de l’attitude Nord et 0°30 et 1°30 de longitude. Sur le plan administratif, le Togo est divisé en cinq régions économiques, du nord au sud : la région des Savanes, la région de la Kara, la région Centrale, la région des Plateaux et la région Maritime. Au total, les cinq régions économiques sont divisées en 35 préfectures et 01 sous-préfecture. Les chefs lieux des préfectures sont considérés comme des communes urbaines.

1.2. Cadre démographique

Selon les estimations faites par la Direction Générale de la Statistique, la population totale du pays a atteint 5 596 000 en 2008, avec un taux d’accroissement de la population de 1,9%. D’une manière générale, les données révèlent que la population est fortement rurale à 66 % et urbaine à 34%. Sont inclus dans la zone urbaine, les populations des 35 chefs-lieux des préfectures. Sont inclus dans la zone rurale, les populations des centres semi urbains (chefs lieu des cantons et des villages).  Au Togo il existe des déséquilibres de peuplement entre les régions où il y a une forte concentration de la population au sud du pays principalement dans la région des plateaux à cause de la fertilité des sols pour l’agriculture, et à la capitale pour des raisons économiques.

1.3. Conditions climatiques

Sur le plan climatique, le Togo est caractérisé par deux régimes climatiques contrastés :

  • un régime au sud, défini par une pluviométrie annuelle de 800 à 1500 mm avec quatre saisons : 2 saisons sèches et 2 saisons pluvieuses : une grande saison pluvieuse (mars – Juillet) suivie d’une petite saison sèche située entre mi Août mi Septembre, et une petite saison pluvieuse (septembre - octobre) suivie d’une grande saison sèche située entre mi Octobre et mi Mars ; 
  • un régime au nord défini par une pluviométrie annuelle de 1000 à 1500 mm caractérisé par deux grandes saisons : une saison sèche (mi-octobre – mi-avril) et une saison des pluies (de mai à octobre).

Les températures moyennes annuelles varient très peu du nord au sud entre 22° et 28°C. L’hydrographie du Togo est déterminée par les Monts du Togo qui constituent la ligne principale de partage des eaux : au nord et à l’ouest de la chaîne montagneuse, se trouve le bassin de la Volta (Oti) s’écoulant vers le Ghana ; au sud et à l’est, les bassins du Mono et du Lac Togo.

1.4. Au plan énergétique :

Le Togo est dépendant énergétiquement car plus de 70% de l’énergie électrique consommée sont importés des pays voisins : Ghana, Côte d’Ivoire et Nigeria, où des déficits se remarquent également surtout en saison de basses eaux.

Du côté de la demande, on enregistre un faible taux d’accès à l’énergie électrique 18% des ménages en 2008 et seulement 4% en milieu rural ;

1.4.1. Energies traditionnelles ou biomasse énergie

La biomasse énergie constituée du bois de chauffe, du charbon de bois et des déchets végétaux, représente à elle seule 76% de la consommation finale d’énergie contre 20% pour les produits pétroliers et seulement 4% pour l’électricité (rapport SIE 2010.. La biomasse énergie constitue la source d’énergie la plus utilisée pour la cuisine, l’artisanat et le chauffage d’eau. Sa consommation annuelle pour les besoins des ménagers est estimée à environ 1,63 millions de tonnes pour le bois de chauffe ; 0,27 millions de tonnes pour le charbon de bois ; Le bois de chauffage est utilisé dans une forte proportion (75%) par les ménages ruraux et ceux des petites villes pour satisfaire les besoins énergétiques de base. Il est aussi le combustible de choix dans la transformation des produits agricoles tels que : fumage de poisson, restauration traditionnelle, préparation de boisson locale et d’huile d’arachide, boulangerie, poterie, etc.). La consommation par habitant par an du bois de chauffe est de : 347Kg/hbt/an.  Le charbon de bois est le combustible le plus utilisé à 75% par les ménages urbains. Sa consommation par habitant par an est de 59Kg/hbt/an.

1.4.2. Potentiel de biogaz

Le biogaz togolais est constitué de déchets végétaux d’agriculture (tiges de coton, sorgho, mil, maïs, manioc, etc.) auxquels s’ajoutent les matières fécales du cheptel togolais évalué à plus de 10 millions de têtes (bœufs, vaches, moutons, volailles, etc.) et les déchets de villes.

1.4.3. Ordures ménagères

Les ordures ménagères sont produites par tous les ménages et l’on estime la production à 0,6 kg/jour/personne dont près de 30 à 40 % sont constitués de biomasse énergie. Environ 730.000.000 de tonnes de feuilles, de morceaux de bois, de bambous…etc. ramassés au cours de balayage et qui vont grossir des dépotoirs

 1.4.4. Résidus de la transformation

 Lors de la mise en champs, de vastes étendues de forêts/savanes sont défrichés et les sous-produits (feuilles, branchages et souches) sont mis en andains puis brûlés tout simplement. De même, les innombrables menuiseries et les rares scieries existant dans le pays produisent des sciures, des dosses, des déligneuses susceptibles d’être valorisées sur le plan énergétique.  Il reste évident qu’il y a un début d’utilisation (mais de façon très localisée) des résidus de

1.4.5. Transformation de la biomasse énergie au Togo

La plus grande transformation demeure la carbonisation, c'est-à-dire fabrication du charbon de bois qui reste le travail des femmes et subsidiairement des hommes (aux approches de période de grosses dépenses comme rentrée scolaire, période de fêtes et de funérailles et surtout en période d’échec de campagne agricole.  Cette carbonisation se fait à l’aide de meule traditionnelle au rendement faible de 12 %.

1.4.6. Production des cultures énergétiques

 Plantation à cycle court d’essence à pouvoir calorifique élevé- entre 5 à 8 ans, il s’agit d’Eucalyptus, Acacia etc. L’UEMOA avec son Programme Bois Energie (PREB), a élaboré des projets de reboisements et conception des foyers améliorés. La jacinthe d’eau, herbeaquatique flottante dans nos cours d’eau (lagune et autres cours d’eau) avec une productivité élevée (100 tonnes matière sèche/ha/an) susceptible d’être valorisée à des fins énergétiques, de même que l’herbe de savane appelée Hyparrhenia présente des intérêts en ce sens au lieu qu’elle soit brûlée par les feux de brousse.

Justification de l’étude

2.1. Au cours des dernières années, l’atténuation de la vulnérabilité de l’économie est devenue une préoccupation majeure du gouvernement, notamment au regard de la flambée du prix du pétrole et du caractère structurel de cette évolution. La satisfaction des besoins énergétiques s’est traduite par une déforestation poussée pour satisfaire les besoins des ménages et une dépendance accrue par apport aux produits pétroliers pour la production d’électricité et le transport.

2.2. Face à cette situation, le Ministère de l’Energie en association avec le Programme Régional Biomasse Energie (PRBE) de l’UEMOA mène une réflexion approfondie sur les perspectives de développement des bioénergies telles que les biocarburants. Il est à noter que le développement des biocarburants pourrait contribuer à la lutte contre la pauvreté en favorisant la distribution de revenus aux populations rurales.

2.3. Suite à l’atelier de validation de l’étude de l’UEMOA du 11 au 13 Aout 2010 portant sur la mise en place d’un cadre juridique et réglementaire pour la promotion et le développement des biocarburants dans l’espace UEMOA, un projet de texte réglementation communautaire du secteur a été adopté et l’UEMOA devrait proposer aux conseils des ministres des 8 Etats membres un texte définitif courant 2010.

2.4. Le projet de cadre réglementaire de l’UEMOA obligera chaque Etat membre à élaborer une politique de développement des biocarburants dans un cadre harmonisé; prenant en compte les préoccupations majeures en matière de développement socioéconomique, de sécurité alimentaire, de protection de l’environnement, de préservation de la biodiversité, de l’adaptation du cadre foncier et de la protection des petits producteurs.

2.5. Le baril de pétrole semble durablement installée au dessus des 70 dollars et la facture devient plus chère et se traduit par des pertes de points de croissance et des difficultés pour les ménages confrontés à une inflation qui se répand dans pratiquement tous les secteurs d’activité. Cette situation a l’avantage de reposer la question de la dépendance énergétique vis–à–vis du pétrole dont les consommateurs ne maîtrisent ni le coût ni les disponibilités.

2.6. Entre un bois de plus en plus rare et un pétrole de plus en plus cher, d’autres sources d’énergie d’origine animale ou végétale mériteraient d’être mieux développées et exploitées. La première grande famille de source d’énergie alternative au pétrole et au bois est constituée des biocarburants.

2.7. Les biocarburants sont des combustibles utilisables dans les moteurs à explosion ou à combustion interne, mais issus de la transformation des sucres ou des huiles d'origine végétale. Deux types de carburant dérivent de ces deux sources : les sucres ou amidons (canne à sucre, manioc, sorgho, etc) transformés en alcool (éthanol) sont destinés aux moteurs à essence et les huiles (palme, pourghère, ricin) sont dédiées aux moteurs diesels (biodiesel). Trois grandes catégories de biocarburants existent : l’alcool, les esters et les huiles végétales. Les plus courants sont l’éthanol et le biodiesel. La culture d’oléagineux dans la perspective de production de biocarburants peut être envisagée avantageusement dans le cadre d’une rotation ou d’une diversification des cultures. Comparés aux autres sources d'énergie renouvelable, les biocarburants présentent un certain nombre d'avantages. Leur utilisation dans les transports, notamment, permet de limiter relativement les émissions de gaz à effet de serre. Ils permettent également de réduire la dépendance énergétique, et constituent un potentiel de création de richesses et d’emplois. Au niveau local, les cultures énergétiques pour la production de biocarburants participent au maintien des activités rurales et permettent une meilleure valorisation des terres (jachère imposée par la politique agricole, jachères imposées par les modes de cultures, terres sous utilisées,…) et à la protection des sols.      

2.8. Deux enjeux majeurs pour la promotion des biocarburants :

  •  un enjeu important lié aux investissements financiers est de créer des mécanismes de manière à s’assurer que ces investissements servent aux populations les plus vulnérables qui sont généralement confinées dans les zones rurales pauvres ; 
  • un autre enjeu à considérer se rapporte aux choix technologiques à initier et au dispositif de renforcement des capacités des communautés à la base, singulièrement les populations rurales. Quels que soient, du reste, les choix technologiques opérés ou les modèles initiés, ils devraient d’une part, contribuer à faciliter (et maximiser) le niveau d’application et d’autre part, intégrer à la fois les aspects institutionnels, techniques, et socioéconomiques (création et distribution des richesses, préservation environnementale renforcée…).
2.9. Les bioénergies ont connu un essor considérable ces dernières années, et mobilisent l’intérêt des décideurs et des investisseurs du secteur de l’énergie. Toutefois la production des bioénergies ne peut pas se faire à l’échelle requise pour contribuer significativement à l’approvisionnement énergétique d’un pays sans impacts sur l’écosystème, l’agriculture, et l’économie. Il est donc nécessaire, avant toute action de grande échelle, d’évaluer les potentiels des bioénergies et d’identifier clairement le cadre institutionnel approprié. Il est donc important de prendre en compte les aspects suivants :
  • Capacité des bioénergies modernes à fournir des services énergétiques aux populations démunies ;
  • Capacité des bioénergies modernes à développer le secteur agro-industriel et à créer les emplois ;
  • Implications des bioénergies modernes sur la santé et le genre ;
  • Implications des bioénergies modernes sur l’agriculture et l’utilisation des terres ;
  • Implications sur la sécurité alimentaire ;
  • Implications sur le budget de l’Etat ;
  • Implications sur le commerce, la balance commerciale et la sécurité énergétique ;
  • Implications sur la biodiversité et la gestion des ressources naturelles.

2.10.      La présente étude, conformément aux recommandations de l’atelier de validation de Lomé sur le projet de texte réglementaire de L’UEMOA, permettra au pays de se doter des bases scientifiques et pratiques pour élaborer et mettre en œuvre une politique de développement du secteur des bioénergies dans un cadre harmonisé.

 

Duties and Responsibilities

Objectif général

L’étude a pour objectif d’évaluer le potentiel de développement des bioénergies modernes au Togo. L’accent sera mis sur la connaissance du véritable potentiel et les opportunités en matière de commerce et d’incitation aux investissements, sur les implications pour la réduction de la pauvreté, sur les contraintes qui pèsent sur l´élargissement de l´offre ainsi que sur la consommation des bioénergies sur le plan national ou local.

Objectifs spécifiques
 
Plus spécifiquement, l’étude devra :
  • Evaluer le potentiel des bioénergies modernes au Togo.
  • Evaluer la contribution de la production des énergies modernes à l’accès aux services énergétiques modernes à court, moyen et long terme dans l’atteinte des OMD (Objectifs du Millénaire pour le Développement) et la lutte contre la pauvreté au Togo.
  • Identifier les impacts du développement de la filière des bioénergies modernes sur l’environnement
  • Identifier le cadre institutionnel, législatif et réglementaire favorable au développement de la filière des bioénergies modernes.
  • Elaborer un plan d’action national pour la promotion et le développement des bioénergies.
Tâches attendues du consultant

Le Consultant international travaillera avec deux homologues nationaux ou un bureau d’études local et devra s’inspirer des expériences mises en œuvre pour la promotion des bioénergies dans les régions du monde et passer en revue les quelques tentatives de production de la bio énergie dans les pays de l’espace UEMOA  pour la promotion et le développement des bio énergies au niveau local. 

L’équipe de  consultants dont il est leader devra : 

  1. évaluer le potentiel des bioénergies modernes dans les cinq régions administratives du Togo ; 
  2. analyser le cadre macro-économique et les politiques sectorielles (agriculture, industrie et énergie) dans lequel s’inscrit la filière des bioénergies de manière à mettre en évidence le degré d’intégration, les complémentarités, les synergies et l’alliance qui devrait s’établir entre l’agriculture et l’industrie en termes de valorisation des cultures énergétiques ;
  3. analyser le potentiel, les acteurs et leurs besoins ;
  4. identifier les acteurs, les consommateurs potentiels interne et les débouchés extérieurs éventuels ;
  5. identifier et procéder à une analyse critique des contraintes et barrières à la promotion et au développement des bioénergies, notamment les aspects fiscaux, réglementaires (cadre du foncier…) ;
  6. analyser l’environnement institutionnel, fiscal et douanier de la filière des hydrocarbures transposable à celle des bioénergies de manière à :
  • identifier les contraintes et les dysfonctionnements de l’environnement institutionnel qui pourraient affaiblir la compétitivité de la filière et handicaper son développement ;
  • proposer un schéma institutionnel susceptible de favoriser la promotion d’unités de production de bioénergies de dimensions artisanale et industrielle;
  • proposer un mécanisme pour l’opérationnalité du schéma institutionnel.
       7. évaluer les investissements nécessaires au développement de la filière bioénergie (Renforcement des capacités techniques, financières et des acteurs impliqués)
       8.   identifier les sources de financements possibles

       9. faire une analyse basée sur des études de cas (scénarios) des cinq régions économiques du pays, et montrer le rôle des bioénergies modernes dans l’accès aux services énergétiques modernes. Chaque étude de cas devra ressortir :

  • Ressources en matière première (type de culture)
  • Option technologique
  • Taille de la production
  • Coût de l’investissement
  • Nombre d’emplois à créer.
 A partir des études de cas (scénarios) faire des recommandations pour une politique d’expansion des bioénergies à court, moyen et long terme dans un cadre institutionnel, fiscal et douanier favorable.
  
Méthodologie
 
L’équipe de consultants proposera la méthodologie qu’il entend utiliser dans l’accomplissement de sa mission. Celle-ci devra contenir une description détaillée des tâches et leurs coûts afférents. Toutefois, la mission est prévue à être réalisée en deux phases :
  1. Réalisation de l’étude :
  • Un atelier de lancement de l’étude et validation de la méthodologie proposée ;
  • mission du Consultant international et équipe de consultants nationaux : collecte des informations, visite de sites, analyse et traitement des informations recueillies ;
  • production des rapports d’étape et provisoire.
       2.  Animation d’un atelier national de validation de l’étude
  • présentation des conclusions, recommandations du rapport provisoire ;
  • rédaction du rapport final conformément aux conclusions de l’atelier de validation.

Conduite de l’étude et production de rapports

Dans le cadre de ses investigations, l’équipe de Consultants devra travailler, entre autres, avec tous les acteurs de la filière de production des biocarburants dans le pays.

A la fin de son mandat, l’équipe  aura à présenter les résultats de ses investigations et ses rapports au cours d’un atelier de validation. L’organisation de cet atelier sera assurée par l’équipe. Le consultant international ainsi que ses homologues nationaux  participeront à l’atelier prévu dans le cadre de l’étude en qualité de personne ressource et produira les projets de rapport de synthèse.

Le Consultant international, chef d’équipe, en collaboration avec ses homologues doit produire trois (03) rapports ci-dessous marquant les principales étapes de l’étude :

  • un (01) rapport d’étape: après la mission de collecte d’information à soumettre au Ministère de l’Energie en vue des orientations pour la poursuite de l’étude ;
  • un (01) rapport provisoire, tenant compte des observations éventuelles sur le rapport d’étape et répondant aux termes de référence et autour duquel sera organisé un Atelier régional ;
  • un (01) rapport final, tenant compte des observations de l’Atelier de validation et des commanditaires de l’étude sur le rapport provisoire ;

Chaque rapport comportera obligatoirement, entre autres parties, «un Résumé, une Conclusion, des Recommandations » ainsi que, dans les annexes, les termes de référence de la prestation, la liste des personnes et structures rencontrées et les références de tous les documents consultés. Les différents rapports doivent être déposés conforment au calendrier de réalisation de l’étude. Une présentation du rapport provisoire sous Power Point sera préparée par le Consultant en vue de sa présentation et éventuellement à l’atelier régional.

Durée de l’étude

Le processus de l’étude est prévu pour durer trois (03) mois dont deux mois pour les consultants nationaux et un mois pour le consultant international.

 

Competencies

  • Aptitude à planifier et à organiser les taches ;
  • Bonne capacité de rédaction des rapports ;
  • Aptitude à s’exprimer de façon claire et précise en français ;
  • Respect des délais de livraison du travail.

 

Required Skills and Experience

  • Diplôme universitaire (Bac+5)  en génie énergétique,  sciences de l'environnement, agronomie,  ou tout autre domaine connexe avec minimum cinq années d’expérience dans  la planification énergétique
  • Expérience confirmée dans le domaine des bioénergies et/ou de la filière des hydrocarbures,
  • Bonne connaissance du Togo et de la problématique de la filière énergétique et plus précisément de celle des biocarburants dans l’espace CEDEAO/UEMOA
  • Bonne maîtrise des outils informatiques usuels (Word, Excel, Power Point).
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